De plus en plus de fermes solaires voient le jour dans le monde, mais en France c'est insuffisant (photo Adobe Stock)
Le 10 juillet 2018, Brune Poirson, Secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire lançait lors d’une séance de questions à l’Assemblée « Si on veut que les Français participent à la Transition Ecologique, il faut que celle-ci soit solidaire », c’est à dire que chacun s’en empare, qu’il soit élu ou simple citoyen, et en devienne acteur. Pour étayer son propos, cette dernière faisait référence au Plan Climat annoncé en 2017. Mais dans les faits, qu’en est-il aujourd’hui, de la prise en considération du climat ?
S’il est vrai que des conférences régionales pour la transition énergétique se multiplient dans toutes les régions de France, « aucune d’elle n’aboutit à un cadre législatif contraignant et un impact réel sur les budgets. Les résultats sont donc infimes », avance Fournisseur.energie.com, le site spécialisé de Papernest, une application qui simplifie les démarches de changements de contrats.
En décembre 2015, lors de la Conférence de Paris sur le climat (COP21), 195 pays dont la France signent un accord historique juridiquement contraignant dont l’objectif était d’éviter un changement climatique dangereux et irréversible. Si la France dénonçait la sortie des USA des accords de Paris, de son coté elle n’a vraiment fait avancer ses projets, le redécoupage des régions ayant, pour certaines, apporté un sérieux coup de frein. Et le climat, pourtant au coeur des débats en est le grand perdant. « Et avec lui la transition énergétique ainsi que tous les bénéfices qui devraient aller de pair », ajoute Fournisseur.energie.com qui note que la communication est beaucoup plus importante que l’action.
Si pour certaines régions attribuent près de 20 % de leur budget à la protection de l’environnement, la plupart ne dépassent pas 1 %, attribuant ce retrait aux coupes budgétaires de l’État. S’il est évident que les régions sont contraintes de réduire la voilure, celle-ci ne devrait pas se faire au détriment de l’environnement et par voie de conséquence à la transition énergétique. Car le modification climatiques sont engagées et il sera de plus en difficile de contenir le réchauffement climatique. « Budget et climat ne font pas bon ménage », constate avec regret le site web.
L’Accord de Paris, c’est normalement la mise en marche de la transition énergétique à l’international. Cela devait être l’impulsion d’un nouveau souffle pour le climat et l’environnement, avec en tête de liste, la transition énergétique. Et pourtant ...
S’il est certainement facile de se perdre dans l’imbroglio de la transition énergétique tel qu’il est définit par la COP 21, les principaux scénarios impliquent de consommer moins et mieux l’énergie, en réduisant de manière drastique le gaspillage, tout en optant par pour les énergies renouvelables, au détriment des énergies fossiles. Même si l’augmentation de la population entraine un consommation accrue d’énergie, laquelle est désormais indispensable pour faire fonctionner les équipements dont nous avons besoin au quotidien. Avec toutefois des inégalités mondiales, ce qui rend plus facile la transition énergétique pour certains pays, que d’autres.
Pour Fournisseur.energie.com, les régions ont une lourde responsabilité dans cette prise en considération dont l’objectif est avant tout d’assurer un avenir aux générations futures. Certaines ont fait des efforts considérables, à l’exemple des régions PACA, Nouvelle Aquitaine et Bretagne qui se placent dans le peloton de tête, on est encore loin d’avoir atteint les résultats escomptés.
« Loin de nous l’idée de penser que rien ne se fait, mais tout se fait à trop petite échelle. A faire des économies de bout de chandelle dans tous les domaines, c’est l’environnement qui en pâtit en premier », peut-on lire sur le site web. Pour ce dernier, rien ne se sert de développer des réseaux de transport, de rénover des universités pour les générations futures, de développer des programmes sportifs accessibles à tous, si demain l’air n’est plus respirable et les productions et consommations d’énergie non maîtrisées. « La force financière des pays dits du Nord doit être repensée. Cela ne servira plus à rien de sauver les banques si plus personne n’est en mesure de les faire fonctionner », souligne Fournisseur.energie.com qui finit par avancer que : « la transition énergétique n’aura pas lieu ! Tout du moins pas grâce aux efforts de 2018… ».
Pour lire l'intégralité du sujet sur Fournisseur.energie.com
S’il est vrai que des conférences régionales pour la transition énergétique se multiplient dans toutes les régions de France, « aucune d’elle n’aboutit à un cadre législatif contraignant et un impact réel sur les budgets. Les résultats sont donc infimes », avance Fournisseur.energie.com, le site spécialisé de Papernest, une application qui simplifie les démarches de changements de contrats.
En décembre 2015, lors de la Conférence de Paris sur le climat (COP21), 195 pays dont la France signent un accord historique juridiquement contraignant dont l’objectif était d’éviter un changement climatique dangereux et irréversible. Si la France dénonçait la sortie des USA des accords de Paris, de son coté elle n’a vraiment fait avancer ses projets, le redécoupage des régions ayant, pour certaines, apporté un sérieux coup de frein. Et le climat, pourtant au coeur des débats en est le grand perdant. « Et avec lui la transition énergétique ainsi que tous les bénéfices qui devraient aller de pair », ajoute Fournisseur.energie.com qui note que la communication est beaucoup plus importante que l’action.
Si pour certaines régions attribuent près de 20 % de leur budget à la protection de l’environnement, la plupart ne dépassent pas 1 %, attribuant ce retrait aux coupes budgétaires de l’État. S’il est évident que les régions sont contraintes de réduire la voilure, celle-ci ne devrait pas se faire au détriment de l’environnement et par voie de conséquence à la transition énergétique. Car le modification climatiques sont engagées et il sera de plus en difficile de contenir le réchauffement climatique. « Budget et climat ne font pas bon ménage », constate avec regret le site web.
« Rien ne se sert de développer des réseaux de transport, de rénover des universités, de développer des programmes sportifs accessibles à tous, si demain l’air n’est plus respirable ».
L’Accord de Paris, c’est normalement la mise en marche de la transition énergétique à l’international. Cela devait être l’impulsion d’un nouveau souffle pour le climat et l’environnement, avec en tête de liste, la transition énergétique. Et pourtant ...
S’il est certainement facile de se perdre dans l’imbroglio de la transition énergétique tel qu’il est définit par la COP 21, les principaux scénarios impliquent de consommer moins et mieux l’énergie, en réduisant de manière drastique le gaspillage, tout en optant par pour les énergies renouvelables, au détriment des énergies fossiles. Même si l’augmentation de la population entraine un consommation accrue d’énergie, laquelle est désormais indispensable pour faire fonctionner les équipements dont nous avons besoin au quotidien. Avec toutefois des inégalités mondiales, ce qui rend plus facile la transition énergétique pour certains pays, que d’autres.
Pour Fournisseur.energie.com, les régions ont une lourde responsabilité dans cette prise en considération dont l’objectif est avant tout d’assurer un avenir aux générations futures. Certaines ont fait des efforts considérables, à l’exemple des régions PACA, Nouvelle Aquitaine et Bretagne qui se placent dans le peloton de tête, on est encore loin d’avoir atteint les résultats escomptés.
« Loin de nous l’idée de penser que rien ne se fait, mais tout se fait à trop petite échelle. A faire des économies de bout de chandelle dans tous les domaines, c’est l’environnement qui en pâtit en premier », peut-on lire sur le site web. Pour ce dernier, rien ne se sert de développer des réseaux de transport, de rénover des universités pour les générations futures, de développer des programmes sportifs accessibles à tous, si demain l’air n’est plus respirable et les productions et consommations d’énergie non maîtrisées. « La force financière des pays dits du Nord doit être repensée. Cela ne servira plus à rien de sauver les banques si plus personne n’est en mesure de les faire fonctionner », souligne Fournisseur.energie.com qui finit par avancer que : « la transition énergétique n’aura pas lieu ! Tout du moins pas grâce aux efforts de 2018… ».
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